Un exemple d’auto édition qui a marché !
Agnès Martin-Lugand a tenté de s’auto publier et ça a marché.
La maison d’édition Michel Lafon l’a repérée, trois ans plus tard, la voilà qui publie son troisième roman : La vie est facile, ne t’inquiète pas.
Quatrième de couverture :
Depuis son retour d’Irlande, Diane a tourné la page sur son histoire tumultueuse avec Edward, bien décidée à reconstruire sa vie à Paris. Avec l’aide de son ami Félix, elle s’est lancée à corps perdu dans la reprise en main de son café littéraire. C’est là, aux Gens heureux lisent et boivent du café, son havre de paix, qu’elle rencontre Olivier. Il est gentil, attentionné et surtout il comprend son refus d’être mère à nouveau. Car Diane sait qu’elle ne se remettra jamais de la perte de sa fille.
Pourtant, un événement inattendu va venir tout bouleverser : les certitudes de Diane quant à ses choix, pour lesquels elle a tant bataillé, vont s’effondrer les unes après les autres.
Aura-t-elle le courage d’accepter un autre chemin ?
« Je n’en peux plus que tout le monde s’inquiète pour moi, toi, Olivier. Arrêtez de penser que je vais m’écrouler à la première épreuve. Je ne suis plus la même, j’ai pris ma vie en main, je vais bien, je sais ce que je veux. Et ce que je veux, ce que mon cœur me dicte, c’est d’aller dire au revoir à Abby, et d’être aux côtés de ces gens que j’aime. »
Certes, l’héroïne n’a pas 20 ans, mais son âge et son passé font la beauté de l’histoire qui est racontée. A ML a une belle plume, un vrai sens du récit. Une fois qu’on débute son livre, on s’y tient et on se prend à rêver de ses personnages, comme à des êtres réels qu’on voudrait tantôt aider, tantôt secouer. M’est d’avis que c’est un moyen très agréable de débuter les lectures estivales !