FROM 5 TO 9

From 5 to 9 drama

Titre original: 5-ji kara 9-ji made    Scénario : Aihara Miki

Éditeur VF : Panini Manga             Éditeur VO: Shogakukan

Type: Josei                                       Illustration: n&b                       

Genre: Comédie, Romance, Drame, Mature, Slice of life

Prépublication: Cheese !

Année (VF): 2012                             Année (VO) :2009

Nous avons tous des rêves qui nous tiennent à cœur. Mais combien d’entre nous pourront les réaliser sans embuche ?

Junko est belle et intelligente, elle rêve de vivre à New York comme une héroïne de série télé. Mais pour l’instant, elle est professeur d’anglais dans un institut privé à Tokyo. Elle pourrait être parfaitement heureuse mais elle approche des 27 ans et n’a pas de petit ami. Sa grand-mère lui a préparé un mariage arrangé avec un moine bouddhiste dont elle visite souvent le temple. Hoshikawa est certes bel homme mais étant bonze, il vit de manière très traditionnelle, bien loin de la vie américaine dont Junko rêve. Pour couronner le tout, Hoshikawa a bien l’intention de l’épouser et de la faire vivre au temple avec lui…

Autour d’eux évoluent d’autres personnages comme Mishima, un ami d’université de Junko ; Môri, secrétaire à l’institut sous le charme de Mishima ; Arthur, un bel étranger, et Momoe, fan de yaoi, tous deux professeurs d’anglais à l’institut ; Nene la petite sœur de Junko, ainsi que Yuki et Hachiya, deux des élèves du jeune professeur.

From 5 to 9

Oyé oyé ! Et voici un shojo un peu plus mature qui devrait vous faire penser à l’univers de Sophie Kinsella et de Sex And The City. Si vous ne connaissiez pas …vous pouvez me remercier.

Je sais que nous pauvres français, nous devons ronger notre frein en attendant la suite des aventures de Junko et de ses déboires amoureux avec ce cher bonze. Mais en attendant, je vous conseillerai d’aller jeter un coup d’œil au drama (d’où cette super image). Je ne vais pas vous mentir, j’ai commis le sacrilège de le regarder en entier (si, si, en même temps 10 épisodes de 46 min c’est court). Du coup, je me languis de savoir la suite du manga !!

Pretty Man

Pretty Man

Titre alternatif : 예쁜남자 (Yebbeun Namja) / Pretty Boy / Beautiful Man / Beautiful Guy / Pretty Man

Genre : Comédie, Romance, Drame, Famille

Diffusion : 20 Novembre 2013 au 9 Janvier 2014

Chaîne de retransmission : KBS2

Nombre d’épisodes : 16

Réalisation : Jung Jung-Hwa

 

Casting:         Jang Geun-Suk, Dokgo Ma-Te

IU, Kim Bo-Tong

Dok Go Young-Jae, Park Gi-Seok

Kim Young-Jae, Park Moon-Soo

Lee Jang-Woo, David Choi

Han Chae-Young, Hong Yoo-Ra

Dokgo Ma-Te est un jeune homme qui possède « le plus beau visage de Corée ». Très ambitieux, il souhaite devenir riche, utilisant pour moyen, son physique. Après avoir déménagé avec sa mère, il fera la connaissance de Kim Bo-Tong, une jeune femme ordinaire, vivant dans un quartier pauvre. Celle-ci, comme toutes les femmes qu’il rencontre, tombera sous son charme au grand désespoir de l’intéressé.

 

A la fin d’une soirée, il rencontre Hong Yoo-Ra, l’ex-belle-fille de la riche famille. Yoo-Ra reconnaît aussitôt l’ambition de Dokgo Ma-Te et elle devient vite son mentor. Elle lui donne alors une mission : séduire 10 femmes différentes.

Ces dix femmes ayant toutes réussies dans leur vie, Dokgo Ma-Te  doit apprendre à leur côté comment elles y sont  parvenues et comment faire lui pour y arriver. Mais très vite, il se rend compte que sa seule beauté ne suffit toujours dans le monde de la richesse et de l’influence.

Au fil de son périple de séduction, Dokgo Ma-Te va apprendre un peu plus sur lui-même.

 

Un bon petit drama avec une bonne musique de fin (“Lovely Girl“ de 5live et « I’m Nobody » de Jung Jun Young) et quatre acteurs que j’adore : Han Chae-Young (DelightfulGirl Choon Hyang), Jang Geun-Suk (Love Rain, You’re Beautiful), IU (Dream High) et Lee Jang-Woo (I Do, I Do). Je vous le conseille.

Last Cinderella

Last Cinderella

 

Titre alternatif : ラスト シンデレラ (Rasuto Shinderera)

Genre : Comédie, Romance

Diffusion : 11 Avril 2013 au 20 Juin 2013

Réalisateur : Hirano Shin, Sekino Munenori, Tanaka Akira

Chaîne de retransmission : Fuji TV

Pays : Japon

Nombre d’épisodes : 11

Acteurs principaux : Shinohara Ryoko : Toyama Sakura

Miura Haruma: Saeki Hiroto

Fujiki Naohito: Tachibana Rintaro

Sakura Toyama, coiffeuse-esthéticienne est la directrice-adjointe d’un institut de beauté.
Elle n’a pas eu de petit ami depuis dix ans, elle a maintenant la quarantaine et s’est installée, dans une routine et une solitude qui commencent à lui peser.
Son plus grand souhait : reprendre sa vie en main, se trouver un petit ami…encore faudrait-il qu’elle fasse quelques efforts pour son apparence, car Sakura qui passe sont temps à soigner la beauté des autres se néglige et ne fait pas très attention à elle. Au point d’avoir des poils au menton !
Cependant sa bonne humeur, sa bonté, sa générosité, son air gaffeur et maladroit, sont des qualités qui la caractérisent.
Deux hommes vont ainsi s’attacher à sa personnalité : Hiroto, un compétiteur de BMX de 15 ans son cadet, et Tachibana Rintaro, le nouveau directeur du centre de beauté, un homme mûr et posé qui est aussi un ami d’enfance de Sakura.

J’ai adoré ce drama. Sakura est trop marrante même si il faut avouer qu’elle est parfois très naïve. Une vraie petite tuerie pour moi qui ne suis pas trop jdrama et le générique de fin  est pas mal (Star LoveRation by Kera Kera). Par contre, la fin comment dire, je m’attendais à un peu plus.

Master’s Sun

The-Master-s-Sun-korean-dramas-35150293-1280-720

 

Titre original              주군의 태양 [Joogoonui Taeyang]

Titre alternatif                       The Sun of My Master, The Sun of the Lord

Catégorie                    Comédie Romantique, Drame

Genre                          Comédie, Romance, Fantastique, Horreur /Epouvante

Chaîne de diffusion    SBS

Année de diffusion     2013

Nombre d’épisodes    17

 

Acteurs principaux


                                   So Ji Seob : Ju Jung Won
                                   Gong Hyo Jin : Tae Gong Sil / Tae Yang
                                   Kim Yu Ri (1984) : Tae Yi Ryeong
                                   Seo In Guk : Kang Wu

 

Ju Jung Won est un PDG ambitieux et froid, aussi  terre à terre que sans pitié. Il a pour fâcheuse habitude de mesurer ses relations à travers l’argent. C’est le directeur général du centre commercial « Kingdom ». Il circule une rumeur sur le fait qu’il serait sous l’emprise d’une malédiction liée à la présence permanente de l’esprit de sa fiancée, qui l’empêcherait d’avoir toute relation avec une femme. En effet, 16 ans plus tôt, il a été kidnappé et sa petite amie est morte lors d’une course poursuite en voiture.

 

Tae Gong Sil, est une jeune femme souffrant d’insomnies, en raison de son habilité à pouvoir communiquer avec les fantômes, habilité qu’elle a acquise depuis un mystérieux accident. Ce don ne lui permet pas d’avoir une vie sociale et encore moins une vie sentimentale car chaque fantôme qu’elle rencontre lui demande une faveur afin de pouvoir reposer en paix.

 

A première vue, il n’y avait aucune chance que ces deux-là ce rencontre et pourtant le “hasard“ les a réunit. Tae Gong Sil trouvera en Jung Won le seul moyen de ne plus voir de fantômes. Il deviendra son refuge car le simple fait de le toucher éradique tout fantôme se trouvant aux alentours. Gong Sil n’aspirera désormais qu’à une chose, rester aux côtés de Jung Won le plus longtemps possible afin de se libérer de cette faculté aussi particulière qu’éreintante.

Pour Jung Won, cela sera dans un premier temps un moyen de rentabiliser son entreprise mais en apprenant à accorder sa confiance, cela lui permettra de chasser ses anciens démons.

 

Le personnage de Tae Gong Sil est vraiment attachant (comment vous auriez réagit face à tout ces fantômes ?) et Ju Jung Won essayant de faire face à ce qu’il ne voit pas est trop drôle surtout vu le fait qu’il n’y croit pas lui-même. Un super drama que je recommande vivement aux fans de comédie et de fantastique. Si vous n’aimez pas les films d’horreur (comme moi !), ne vous inquiétez pas vous pouvez regarder sans soucis. Seule l’apparition de certains fantômes vous fera frémir.

« Frances » Ha de Noah Baumbach – Bande-annonce

Francès, c’est le nom de l’héroïne.

Blonde, grande et sutlout hilarante, Francès est une apprentie danseuse de 27 ans installée à New-York avec sa meilleure amie, Sophie.

Colocs, totalement fusionnelle, les maladresses de Francès sont attachantes, ses rêves et ses échecs, un peu les notres…

Si vous n’avez pas encore été voir ce film, courez vite dans la salle la plus proche…

Voir Francès Ha c’est comme faire une pause dans son canapé et voir sa vie se jouer.

Ma Famille

Image

Pour une fois je voudrais vous parler de séries africaines et plus précisément d’une série culte ivoirienne regardée dans de nombreux pays francophone de l’Afrique subsaharienne.

« MA FAMILLE″ est un téléfilm, une saga de LAD  production et crée par Akissi Delta, de qui décrit les intrigues des foyers africains. Le téléfilm met l’accent sur les scènes de la vie sociale courante dans lesquelles la société africaine se retrouve. Il peint les réalités africaines connues  dans certains pays, avec humour. On retrouve dans les acteurs principaux des personnes connues comme Michel Bohiri et Michel Gohou, membres de la troupe Les Gaous d’Abidjan.

 “Ma Famille“ c’est la saga de deux principales familles ivoiriennes confrontées à des problèmes dans leur vie quotidienne : la famille Bohiri et la famille Gohou.

– La Famille Bohiri dont le chef est un véritable séducteur aisé et manipulateur avec une femme soumise et exemplaire qui subit non seulement les infidélités de son mari mais aussi est rejetée par sa belle mère.
– La Famille Gohou dont le chef un homme sans autorité qui veut absolument ressembler à Bohiri mais est dominé par la femme.
– Il y a aussi La Cour commune qui abrite plusieurs familles aux revenus faibles, dont l’une est polygame. Il y règne une atmosphère quotidienne de provocation et de rivalité.

Pour moi, c’est l’une des meilleures séries africaines. On rie aux larmes à chaque épisode. Cette série nous montre vraiment la vie « sous le soleil » entre jalousie, rivalité, coutumes, modernité (occident). J’en ai appris autant que si j’y étais et franchement certaines de leurs expressions sont trop tordantes.

Lie To Me

Image

Titre original      내게 거짓말을 해봐 / Naege Geojitmaleul Haebwa

Catégorie         Comédie / Comédie Romantique

Genre   Comédie Romantique

Pays      Corée du Sud

Chaîne de diffusion        SBS

Année de diffusion        2011

Producteur: Jo Sung Won

Réalisateur: Kim Soo RyongKwon Hyuk Chan

Acteurs principaux : Yoon Eun Hye est Gong Ah Jung

Kang Ji Hwan est Hyun Ki Joon

Jo Yoon Hee est Oh Yoon Joo

Sung Joon est Hyun Sang Hee

Nous suivons Gong Ah Jung, une jeune femme qui travaille au Ministère de la Culture et dont la vie va être bouleversée. Alors que ses amies sont mariées, elle est toujours célibataire et vit avec son père.

Un jour, elle rencontre par hasard son ancienne meilleure amie Yoo So Ran et son mari Chun Jae Bum. Des années auparavant, elle était amoureuse de Chun Jae Bum. Elle avait avouée à son amie So Ran qu’elle comptait se confesser après avoir obtenu les résultats de ses examens du barreau (examens qu’elle passait pour lui). Cependant elle va découvrir que Chun Jae Bum et Yoo So Ran sortaient ensemble dans son dos et aujourd’hui, celle-ci se vante de leur mariage et rabaisse Gong Ah Jung, qui encore très marquée par cette trahison, va mentir.

Ce mensonge anodin de prime abord va la conduire à sa perte. Elle affirme seulement être mariée avec un homme riche et attentionné, cependant le mensonge va prendre de l’ampleur suite à diverses péripéties et tout le monde va la croire mariée avec Hyun Ki Joon, le jeune et beau directeur du World Hotel, un chef d’entreprise perfectionniste à la tête de l’une des plus grandes entreprises du pays.

Ce dernier va essayer de faire taire cette rumeur qu’il trouve ridicule, mais tout le monde va croire qu’il ment pour protéger son mariage “secret“ qui serait désapprouvé par sa tante.

Dans le même temps, son frère, Hyun Sang Hee revient à Séoul après 3 ans d’errances. Sa rencontre à son arrivée avec Gong Ah Jung avec qui il va devenir ami va être l’occasion pour le frère cadet de jouer un tour à son grand frère. C’était sans compter l’ex-fiancée de Hyun Ki Joon qui fait son retour à Séoul au grand désarroi d’Ah Jung qui se rapprochait de Ki Joon.

Comment cette histoire va-t-elle se terminer pour nos “victimes“ ?

Avis : J’ai juste adooorer (surtout le beau gosse Hyun Ki Joon !!!). Une comédie romantique comme on les aime basée sur un « petit » malentendu qui va prendre de l’ampleur !! Nos  protagonistes nous entraînent dans un univers de mensonges, de dissimulations mais également d’amour et de vérité. On passe du rire aux larmes d’une scène à l’autre. Comme quoi la vengeance a du bon, ou pas parfois.

Dream High 2

Image

Titre original    드림하이 [Deurim Hai] 2

Catégorie        Drame

Genre             Drame, Musique, comédie sentimentale

Pays               Corée du Sud

Chaîne de diffusion        KBS

Année de diffusion        2012

Réalisateurs       Lee Eung Bok / Mo Wan Il

Producteurs      Bae Yong Jun / Park Jin Young

Acteurs principaux         Park Ji Yeon [T-ara] : Ri An

Kang So Ra : Sin Hae Seong

Hyo Lyn [SISTAR]: Nana

Jeong Jin Woon: Jin Yu Jin

JB [JJ Project]: JB

Ailee: Ailee

Park Seo Jun : Si Wu

Kim Jeong Tae : Directeur Lee Kang Cheol

 

Alors que dans la première saison, Kirin Arts School était une école réputée qui formait les plus grandes idoles du pays, c’est aujourd’hui une école proche de la ruine. Son nouveau directeur Lee Kang Cheol n’arrive pas à remonter pente.  L’histoire débute sur le débat concernant la nouvelle interdisant  aux idoles mineures de se produire ou de s’entraîner après 22h00 et les obligeant à suivre au moins 20 heures de classe par semaine. Le producteur et directeur de l’agence OZ Entertainment, Ju Jeong Wan, décide de respecter la loi et de faire profil bas, en rachetant l’école Kirin et y en transférant tous ses petits protégés.

Alors que les idoles vont tenter de se faire une place dans l’école, les étudiants, eux, vont tout faire pour être repérés par le proviseur Ju Jeong Wan afin de devenir des stars.

Ri An est une des chanteuses de HershE, le groupe féminin le plus connu d’OZ Entertainment. Elle rêve de devenir actrice et est très égoïste et colérique. Nana, la leader du groupe, est quant à elle, de nature enjouée et adore chanter, c’est ce qui lui permettra de vite s’intégrer, tout comme Ailee.

Sin Hae Seong est une étudiante de Kirin sans aucun talent, et qui tente désespérément de devenir une idole, encouragée par sa meilleure amie, Park Sun Dong. Cependant, ce qu’ignore Sin Hae Seong c’est qu’elle est en fait une merveilleuse compositrice.

Jin Yu Jin, chanteur et compositeur talentueux est lui aussi étudiant à la Kirin Arts School mais ne veut pas devenir une idole : il veut devenir un rockeur et faire la musique qu’il aime. Il ne voit pas d’un très bon œil l’arrivée de ces idoles, surtout de JB idole adulée de toutes les filles.

Avis : OK parler de la saison 2 quand on n’a pas regardé la saison 1  « c’est un comble !! » comme dirait certain. Mais je dois avouer que cette saison 2 m’a donné envie de regarder la première saison. Ce qui m’a plu c’est de suivre l’évolution de Sin Hae Seong, le vilain petit canard qui n’a pas de talent pour le chant mais qui a un réel talent pour composer une chanson (Hello to myself est juste magnifique). Cela montre que parfois nos rêves peuvent être atteint mais pas par la voie que l’on pensait empruntée. Je conseille cette série à toutes les personnes qui aime les drama de musique.

Vous pouvez regarder sur le site http://www.DramaPassion.com

Starbuck réalisé en 2011 par Ken Scott

Hier soir nous sommes allés voir avec deux ami(e)s dont je tairais le nom , le film Starbuck, réalisé par Ken Scott, avec en vedette Patrick Huard, Julie LeBreton et Antoine Bertrand.

Nous avons passés une soirée hilarante, drôle….et voici notre critique du film :

 Quand arrive un film comme  Starbuck, c’est une bouffée d’air frais, car on ne s’attend qu’à une comédie classique et on a le plaisir de découvrir un charmant long métrage, beaucoup plus profond que ne le laissent supposer la bande-annonce et les extraits diffusés.

 Le film s’inspire de faits divers véridiques pour exploiter sur le mode loufoque un dilemme juridique : l’utilisation massive de dons de sperme provenant d’un même donneur.

 Patrick Huard incarne David Wosniak, fils d’immigrés polonais qui ont une boucherie.

Ce quadragénaire irresponsable a été relégué par son père et ses frères à la livraison, seul travail qu’il est capable d’effectuer sans trop de mal (et encore!). Parallèlement, notre homme est amoureux de Valérie (Julie LeBreton). Mais cette relation est mise à mal quand la jeune femme commence à douter de la capacité de David à prendre ses responsabilités paternelles.

 Or, ce qu’elle ne sait pas, c’est que dans sa jeunesse, David Wosniak a fréquenté régulièrement une banque de sperme sous le pseudonyme de Starbuck. Il était loin de penser que cette source de revenus pourrait bouleverser sa vie vingt ans plus tard.

À quarante-deux ans, l’éternel adolescent, couvert de dettes fait le livreur pour la boucherie familiale. Entre un frère angoissé par la naissance de son premier enfant et un meilleur ami blasé par trois enfants ingérables. .Un jour il prend connaissance que son sperme a donné naissance à 533 enfants, le choc est violent. Dans le même temps, il apprend que sa petite amie est enceinte.

David se trouve malgré lui confronté à une question existentielle : que signifie « être père » ?

 Rapidement, David Wosniak décide d’aller voir de près à quoi ressemblent quelques-uns de ses enfants, ne serait-ce que pour savoir jusqu’où va l’hérédité. Sont-ils heureux ? Ont-ils certains de ses traits de caractère?

 Starbuck fonctionne en permanence sur le mode du décalage et du dérapage pour désamorcer toutes les situations mièvres ou mielleuses lié aux sujets de la paternité et du couple.

Ainsi, la scène où, au milieu de la nuit, David confie avec émotion son désir nouveau d’être père à son meilleur ami est à la fois hilarante et d’une grande vérité. Ce dernier lui fait un portrait affligeant de son quotidien de père, alors que ses enfants se lèvent un à un pour aller dormir dans le bac à sable du jardin sans écouter leur papa dépassé.

 Entre humour et émotion, Starbuck repose beaucoup sur la qualité de son interprète principal, Patrick Huard, star de la comédie au Québec sur scène et à l’écran. Présent dans presque tous les plans, il trouve ici un rôle de choix qui lui permet de composer une performance nuancée. Il assure l’adhésion du spectateur même dans les séquences plus fragiles.

Mais Ken Scott parvient toujours à ramener le film vers ce que fait sa force : David, alias Starbuck, le looser magnifique, le poissard valeureux, dont la vie semble ne pouvoir être qu’une succession d’embrouilles et de galères dans le dédale du Mile End.

 Rapidement, il se prend au jeu. Se déguise en livreur de pizzas pour aller porter secours à sa fille. Va rendre visite à l’un de ses fils dans le café où travaille cet aspirant comédien. Bref, après avoir mis le petit doigt dans l’engrenage, il est pris jusqu’au coude !

 Je ne dévoile rien d’autre de la suite ni même de la conclusion de Starbuck. Sachez seulement que Patrick Huard joue finement et habilement sur toutes les cordes sensibles de son personnage. Et si, au début du film, on ne peut que le prendre en pitié, on s’attache rapidement à David Wosniak. Maladroit, parfois inconscient, le bonhomme est un grand sentimental.

 Les relations avec, d’un côté, sa famille (son père et ses frères, sa mère étant morte) et, de l’autre, ses centaines d’enfants, sont habilement explorées. Avec beaucoup de finesse et des touches d’humour bien placées, Ken Scott soulève des questions graves, qui sont au cœur de l’existence.

 En confrontant un sujet polémique sur l’éthique médicale à un personnage de comédie burlesque, Ken Scott réussit son coup. Le rire permet d’aborder sans démagogie une question sensible et complexe dont la société occidentale ne peut faire l’économie aujourd’hui. Au passage, le réalisateur québécois se paie le luxe de proposer un film très juste sur les affres de la parentalité.

 Oui ! Starbuck est à voir au cinéma. ! Il faut  absolument le visionner à plusieurs, entre amis ou en couple dans une salle pleine. Et, bien sûr, le plaisir se poursuit au-delà de la séance puisque c’est un long métrage dont on va aimer discuter.

(On peut vous l’affirmer ! Hein les potes ?)

 Anissa Berkani Rohmer

Anna-san no omame (drama)

Anna-san no Omame

Anna-san no omame est une comédie romantique de 10 épisodes. Elle est parue en 2006 sur TV-Asahi au Japon.

Synopsis :

ANNA (en Bas à droite de Lily) est une jeune femme intelligente, belle, polie mais le hic dans sa vie : Sa meilleure amie LILY (au centre de l’image ) est une jeune femme riche qui se prend pour le centre du monde, elle pense que tout le monde est à ses pieds et que tout le monde est amoureux d’elle. Lily à un caractère très enfantin et adore le rose. Malgré tout cela Anna adore sa meilleure amie. Elle est  en couple avec KYOUTARO  (en Bas à gauche de Lily) mais Lily ne le voit pas sous cet angle et pense que Kyoutaro sort avec Anna pour se rapprocher d’elle. Ensemble ils vont connaître  plein de péripéties car Lily a le don de créer beaucoup de malentendus… .

Avis de Tressy :

Ce drama est à mourir de rire ! Lily est très stupide  et c’est ce qui est drôle. Elle crée des malentendus à tout bout de champs.

Certains diront que le fait qu’Anna Gronde Kyoutaro car il ne s’occupe pas de Lily et que Lily boude à chaque
fois est énervant, mais moi je trouve ça assez marrant. Chose aussi très drôle dans ce Drama c’est la patronne de Kyoutaro  (au-dessus de Kyoutaro) ; c’est une femme qui essaie de séduire ses employés (avec la fermeté d’un chef d’entreprise bien sûr) et qui ne comprend pas pourquoi Anna qui ne fait rien attire leur attention alors qu’elle se démène et n’obtient même pas un sourire, elle fait des mimiques assez drôles quand elle échoue.