The Flash

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Cette série doit être l’une des meilleurs séries que j’ai pu voir (et j’en vois beaucoup:)) et continue de l’être encore. Pour tous les fans de DC Comics (dont je fais parti :)), c’est très agréable de découvrir les origines de Flash, l’homme le plus rapide du monde. Surtout pour ceux qui comme moi on grandit avec les images du dessin animé de la Ligue des Justiciers qui certes datent un petit peu mais reste une très bonne adaptation. Dans cette adaptation, on ne trouve malheureusement pas beaucoup de détails sur Flash qui était pourtant l’un des principaux personnages faisant parti des fondateurs de la Ligue.

Mais aujourd’hui (enfin ça fait un an quand même :/) DC revient pour nous proposer le retour de ce héro méconnu Barry Allen alias The Flash. Le personnage de Barry joué par Grant Gustin fait aussi une apparition dans la saison 2 épisode 8 de Arrow qui nous permet d’avoir un premier aperçu de la personnalité du futur héro.

Comme vous l’aurez compris la série met en scène Barry et son équipe (qui deviendra sa famille) et les embarquent dans leurs aventures impliquant des méta-humains (vous vous demandez ce que signifie ce terme allez regarder la série :)). La série contrairement a celle de Arrow avec laquelle elle est liée apporte une sorte de lumière contrairement a Arrow qui agit plutôt dans l’ombre et reste un personnage entouré d’obscurité. Alors que Flash est plus lumineux, plus insouciant, plus enjoué ce qui fait un beau contraste entre les deux séries et renvoi a différentes thématiques.

le scénario est bien écrit et les acteurs bien choisit. Tous lutte contre les méta-humains et essaye de découvrir la vérité sur le meurtre de la mère de Barry et sur l’identité du Reverse Flash. La série s’épanouit à son rythme entre les buts finaux et les enquêtes sur les méta-humains. Et j’aime assez ce petit clin d’œil fait à la série des années 80 car l’acteur qui y jouait le Barry Allen, joue ici le père du nouveaux Flash et c’est un peu comme la relève et je trouve cela plutôt sympathique.

C’est une série que je pense ne pas oublier et continuer à regarder car elle nous apporte tous les bons ingrédients: amour, tragédie, vérité, humour, amitié, tristesse et douleur parfois.

Voila c’est fini, mais juste une dernière chose: faite attention car vous risquez de devenir accro!

 

The 100

                The 100 (débuté en 2014)

Univers

318 survivants se sont réfugiés dans des stations spatiales après une apocalypse nucléaire causée par l’Homme lors d’une troisième Guerre Mondiale. Ils parviennent à y vivre et deviennent 4000. Au bout de 97 ans, l’Arche, est en piteux état.

Une centaine de jeunes délinquants emprisonnés sont choisis les chefs pour redescendre sur Terre et tester les chances de survie. Mais, ils arrivent sur une terre qui a mutée, dangereuse et sur laquelle il leur faut tout découvrir.

Deux saisons achevées une troisième en préparation. Environ 15 épisodes de 45 minutes. (Uniquement en VO pour le moment)

 

Bande annonce de la série

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19519608&cserie=11871.html

 

Avis

Cette adaptation des romans de Kass Morgan est plutôt réussie ! Comme parfois, avec les livres, les deux premiers épisodes sont moyens. Néanmoins, le concept est exploité à son maximum par la suite ! A l’égal de Walking Dead les créateurs maintiennent le réalisme, n’hésitant pas à éliminer les personnages quand l’intrigue le réclame. Pas de machinisme, ni de romance excessive (y en a quand même un peu) mais une vraie lutte au jour le jour pour survivre. Je vous recommande chaudement de tester The 100…

DC

La symphonie des abysses – Livre 1, Carina Rozenfeld

abysseAvec ce nouveau récit, l’auteur traite à nouveau (après Phaenix) une thématique qu’elle affectionne tout particulièrement : la musique, mais aussi l’affirmation et l’émancipation de soi.

Avec La Symphonie des Abysses nous sommes confronté à une société aux règles totalitaires qui semble évoluer dans notre futur, mais difficile d’en savoir plus tant le voile est pesant sur ce nouvel univers.

Article 2 : Il est interdit de chanter, d’écouter, ou de faire de la musique

Cette règle simple est facile à respecter pour les habitants de l’atoll, sauf pour la jeune Abrielle, forcée de contenir des chants qui la dépasse elle-même. Sans cesse tentée de chantonner et de murmurer des notes, cette dernière vit très mal l’article 2 du règlement, surtout depuis la disparition mystérieuse de son père…

Un roman qui fait l’éloge de la force de caractère et de la remise en question

Faut-il suivre aveuglément des lois qui n’ont pas de sens ? Abrielle se pose de plus en plus de questions… mais elle n’est pas la seule. En effet, le roman se découpe en deux « partitions », celle d’Abrielle, puis celle de Sand et de Cahill.

Bonne lecture !

 

 

Dualed d’Elsie Chapman

Dualed

 

Bienvenue dans la ville fortifiée de Kersh, avant d’atteindre son vingtième anniversaire, chaque citoyen doit éliminer son Alter ego, un jumeau génétiquement identique, élevé dans une autre famille. Le compte à rebours se déclenche un beau matin, et chacun a 30 jours pour affronter son jumeau.

Pour West Grayer  c’est l’heure. Elle a quinze ans, et s’entraîne depuis des mois et des mois pour affronter son Alt. Survivre, c’est accéder à une vie normale, terminer ses études, avoir le droit de travailler, de se marier, de mettre au monde des enfants. Mais un grain de sable imprévu vient gripper la machine, et West se met à douter : est-elle vraiment la meilleure version d’elle-même, celle qui mérite un avenir ? Pour rester en vie, elle doit cesser de fuir… son double d’abord, mais aussi ce qu’elle ressent, et qui a le pouvoir de la détruire.

Avis : une fois commencé, impossible de lâcher ce roman. Dualed est un roman de dystopie qui donne envie d’être lu. Se retrouver dans un monde où chaque citoyen doit, avant sa majorité, passer un test abominable : tuer son double, conçu en même temps que soi mais élevé dans une autre famille, dans un autre coin de la ville. Lorsque le compte à rebours d’un mois est activé, vous n’avez plus le choix : c’est vous ou lui et si vous ne venez pas à lui, c’est lui qui viendra à vous. Un premier tome passionnant malgré quelques passages que j’ai trouvés ennuyeux. Attendons le prochain tome.

 

 

Insaisissable de Tahereh Mafi

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« Je suis enfermée depuis 264 jours.

Je n’ai rien d’autre qu’un petit carnet, un stylo cassé et les chiffres dans ma tête pour ma tête pour me tenir compagnie. »

 

Voici le quotidien de Juliette Ferras, 17 ans, depuis son internement à cause du crime qu’elle a commis. Juste pour s’être oubliée quelques instant et avoir voulu aider un enfant en pleure. Alors qu’elle ne doit jamais  toucher quelqu’un.

Et pourtant dans son monde de solitude, Juliette va faire une rencontre à laquelle elle ne s’attendait  pas. Car il y a une personne, une seule qui n’a jamais eu peur d’elle. Adam Kent, le seul ami qu’elle n’a jamais eu, le garçon dont  elle était secrètement amoureuse mais qui aujourd’hui est un soldat à la botte du Rétablissement, régime militaire qui règne  par la peur et la violence.

D’ailleurs, Juliette a retenu l’attention du fils du leader, le jeune Warner.

Ce jeune homme effroyable et cruel voit en la jeune femme un moyen d’asseoir sa position. Car pour lui, elle est une arme qu’il souhaite utiliser pour sa cause, et pour lui touts les moyens sont bons même à la menacé et menacé celui auquel elle tient.

Mais Juliette n’a pas l’intention de se laisser faire, elle qui recommence à vivre et rêve d’un avenir. Elle va se battre pour ses convictions.

L’auteur a un style d’écriture très particulier. Dans certains passages il n’y a pas de ponctuation voire peu. Les pensées de Juliette, qu’elle n’ose pas avoir se retrouvent au milieu de la narration et sont raturées, et parfois on passe d’une métaphore à une succession de  mots qui se suivent (avec parfois des suites de cinq fois le même mot).

Je ne vous cacherais pas que j’ai eu du mal au début de cette histoire. Mais j’ai aimé ce livre, l’histoire et les personnages. On y découvre une jeune femme brisée par son passé et qui est effrayé par tout : elle a peur de tout, mais surtout, elle a peur d’elle-même et de ce qu’elle est capable de faire avec ce don.

 

Starters * Tome 1 ~ Lissa Price.

Et si votre corps ne vous appartenait plus ?

 Dans un futur plus ou moins proche, un virus mortel a ravagé les Etats Unis. Seuls les plus jeunes et les plus âgés ont été vaccinés et ont survécu aux spores mortels venus du Pacifique: les Starters et les Enders. La plupart des Starters pas encore majeurs ayant perdu leurs parents et grands parents sont devenus des rebus de la société, vivant dans des squats et se cachant des forces de l’ordre pour ne pas aller à l’orphelinat.

Callie, 16 ans, fait partie de ceux là. Et pour sauver son petit frère malade, elle va prêter son corps en échange d’argent à la Banque des Corps, un institut qui permet aux Enders de louer de jeunes corps afin de revivre leur prime jeunesse. Malheureusement, rien ne se passe comme prévu, et Callie réalise que son corps a été loué pour commettre un meurtre … !!

Lissa Price nous entraîne à toute vitesse dans ce thriller ! Starters traite de manière très intéressante les avancées scientifiques et le traffic humain et par moments fait penser à un mélange de Uglies de Scott Westerfield et des Ames vagabondes de Stephenie Meyer. 

Lissa Price intègre à ce roman intelligent une dimension romantique et romanesque qui devrait vous  ravir l !

Starters se dévore avec plaisir et l’on attend avec impatience  la suite !

Le Dernier Jardin – Ephémère de Lauren DeStefano

ImageQuand il ne vous reste plus que quelques années à vivre, seul la liberté compte

Dans sa recherche de l’homme idéal, beau, parfait  qui serait immunisé contre toute maladie, la science a repoussé les lois de la nature et a créé des êtres génétiquement parfaits pour lesquels elle fut portée en triomphe. Cependant, personne ne pensait au revers de la médaille : en effet, la durée de vie de ses enfants n’excède pas 20 ans pour les filles et 25 ans pour les garçons.

Autant dire que leur vie s’arrête à peine sortie de l’adolescence !

Pour la survie de l’espèce humaine face à une humanité en perdition, les mariages polygames sont à l’honneur et les filles à peine sortie de la puberté sont arrachées à leur famille et vendues à des gouverneurs domaniaux aisés.

C’est ainsi que Rhine, jeune fille  de 16 ans vivant seul avec son frère jumeau, Rowan, se retrouve enfermée dans un camion avec d’autres filles tout aussi jeunes qu’elle.

Elle se retrouvera marié à Linden Ashby, jeune homme ayant été élevé dans une bulle par son père, Maître Vaughn qui a acheté Rhine et les 2 autres concubines, Cécily et Jenna, dans l’espoir d’avoir des héritiers et remplacer la femme de Linden.

Avis : ce récit nous montre comment l’Homme, par son souci de la perfection conduit l’humanité à sa perte. On suit à travers les yeux de Rhine, le destin d’une jeune femme au milieu d’un monde à la dérive mais qui se bat pour retrouver à sa liberté alors qu’elle sait qu’il ne lui reste que deux ou trois ans à vivre. Elle veut fuir cette prison dorée et découvrir le monde car elle qu’un sort identique à la première femme de Linden l’attend : une mort lente et douloureuse.

Si vous avez aimez la série Uglies, vous aimerez Le Dernier Jardin.

« Lila Black – T.1 : Bienvenue en Otopia » de Justina Robson

Titre : Bienvenue en Otopia

Série : Lila Black tome 1
Auteur : Justina Robson

Résumé

Comme si ça ne suffisait pas d’avoir été transformée en cyborg, Lila Black est désormais possédée par l’esprit d’un elfe nécromant et affublée d’un petit ami elfe, démon et rock star. C’est donc tout naturellement qu’elle accepte une mission en Enfer. Cœur de l’art, de la sensualité et de la politique, Démonia est magnifique et terrible. C’est le genre d’endroit où l’on vous provoque en duel comme on vous demande en mariage… Et où les tentatives d’assassinat tiennent lieu de pratiques sociales. Lila n’est donc pas surprise de faire l’objet de toutes ces attentions.
Mais elle sait que l’intérêt des démons pour les failles de la Bombe-Q n’est pas innocent et rien ne la fera dévier de son enquête. Pas même ce qu’elle pourrait découvrir sur Zal.

L’avis de Claudia P.

Le cyborg Lila Black a un nouveau problème sur les bras : en plus d’être devenu une machine cybernétique, elle est maintenant possédée par l’esprit d’un elfe !
Cette fois-ci sa mission la conduit en Démonia, territoire des démons aux mœurs déroutant. Les duels y sont monnaie courante qu’il s’agisse de régler un conflit ou pour faire une demande en mariage. L’agence lui demande d’enquêter sur la transformation en démon de Zal. Cette mission lui sera tout aussi bénéfique pour chasser ses démons intérieurs.

Strike Witches

Titre original : Strike Witches
Année de production : 2008
Studio : Gonzo
Auteur : Shimada Funikane
Genre : Science-fiction, action, sentiments
Durée : 12 épisodes de 25 min (saison 1)

Strike witches fait partie d’un des types de manga que l’on a du mal à résumer, et ceci à cause de sa richesse de supports. En effet, le manga fut édité également sous forme de roman (deux nouvelles), de OAV (c’est à dire un DVD contant une histoire unique), c’était à la base un projet multimédia de jeux vidéo (4 titres sortis à ce jour). Je vais m’attarder ici sur l’anime qui m’a particulièrement plu. Une troisième saison de celui-ci est d’ailleurs en préparation.

Résumé (source Animeka)

En 1939, une entité jusqu’alors inconnue frappe la Terre. L’Europe est la première région touchée et tombe
rapidement face aux Neuroi. L’humanité réagit et, grâce au Docteur Miyafuji, construit le Strike Unit, un engin permettant d’amplifier la magie et de permettre de voler. L’unité Strike Witches est alors créée et, grâce aux jeunes sorcières la composant, réussit à contenir les Neuroi.Quelques années plus tard, le Major Mio Sakamoto arrive dans l’Empire Fuso à la recherche de Yoshika Miyafuji, une jeune fille avec un formidable pouvoir de guérison.Cette dernière partira pour Britannia, la ligne de front avec les Neuroi.

L’avis de David

Cette série m’a scotché, les personnages étant très attachants, chacune des witches provenant d’un autre
continent, on assiste à un mélange culturel comique et plaisant. Les filles ont leur propre personnalité et la revendiquent.C’est tout d’abord une histoire d’amitié et de confiance en l’autre que nous présente Strike Witches sous ses aspects très « rock ‘n roll » ! L’incorporation de la 3D lors de certaines scènes de combat m’a particulièrement charmé, rendant celles-ci plus vivantes. Il y a seulement une chose que je n’ai pas réussi à comprendre durant tous ces épisodes : Pourquoi ces jeunes filles se baladent-elles sans cesse en petite culotte, qu’il vente, qu’il neige ou qu’il pleuve ? Cet question m’a tenue en haleine durant toute la série, mais je n’y ai finalement point trouvé de réponses J Je vous recommande donc de regarder cette série (assez courte, vivement la 3 ème saison), qui vous changera les idées quelques temps !

GunGrave

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Synopsis (source Animeka) :

 Par une nuit neigeuse, un certain Grave, qui ne semble pas tout à fait humain, se bat de manière magistrale contre des créatures blanches. Aidé de ses impressionnants pistolets, Grave arrive rapidement à bout des créatures, sous le regard d’une jeune fille qui l’appelle Brandon Heat. Dans les épisodes suivants, un énorme flash-back racontera l’histoire de Brandon Heat, un jeune homme vivant dans les rues…

Avis de Shinta :

C’est un animé triste qui nous fait réaliser que rien n’est éternel, pas même les plus belles amitiés. Snif !!!

Brandon Heat est un jeune homme qui défend les siens dans n’importe quelle situation (surtout de la bagarre
:p ), mais au final il va mourir et renaître comme une sorte de cyborge dans une ville chaotique et dévastée  par un gang, si mes souvenirs ne me trompent pas. Au fur et à mesure, il devra affronter ses anciens amis et les tuer un par un…Triste à souhait mais ce coté  » rien n’est eternel et tout est éphémère » est intéressant. Les combats sont dynamiques et drôlement bien réussis! Gungrave se bat avec deux gros flingues et son cercueil! Bref un bel animé que je conseille de regarder si l’occasion se présente.